LEXIQUE Définitions courantes des termes présents sur le site
Technique de psychothérapie consistant quelques jours après le traumatisme, à faire verbaliser le patient sur l'évènement en analysant avec lui les faits, émotions, pensées présents lors de l'évènement.
Cet échange s'accompagne d'un soutien empathique, d'informations sur les symptômes aigus et chroniques des états de choc, et leur évolution, et sur les différentes démarches légales et administratives à envisager.
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Lire l'article dur les pages wikipedia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Affect_(psychanalyse)
Rupture de l’équilibre psychique face à des stimuli renforcés. La meilleure image pour comprendre ce qu’est la décompensation psychique est d’imaginer que la structure psychique est un plancher sur lequel s’appuie une colonne qui représente l’équilibre psychique. Si on ébranle le plancher, la colonne vacille. Si on perfore le plancher, la colonne s’écroule. Les deux illustrations évoquent une décompensation passagère et une décompensation définitive. ©psyvig Décompensation Effondrement des défenses du Moi avec possibilité de dépression. Se produit sous l'influence d'un traumatisme, d'une pression du groupe, de la famille. Les malades et anciens malades psychiatriques y sont particulièrement exposés. ©psychiatriinfirmiere.free - La décompensation peut prendre beaucoup de formes. Normalement cela implique le début de comportements plus -enfantins- comme, un manque complet d'égard pour l'hygiène (eau), perte de controle de vessie tout en dormant, comportement de plus en plu
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À l'origine, en psychanalyse et pour Sigmund Freud les mécanismes de défenses ou défense(s) désignait tous les stratagèmes ou procédés dont se sert le Moi dans des conflits éventuellement névrotiques. Ces défenses sont inconscientes et leurs usages résultent du conflit entre la pulsion et le moi et aux caractères inconciliables d'une perception ou d'une représentation (souvenir, fantasme, etc.) avec les impératifs moraux (censure, surmoi). Pour être plus précis, cette acception qui met en jeu le Moi dans une perspective -adaptative- devrait être refondée. En effet, le mot -moi- est une mauvaise traduction du -ich- allemand qui devrait être traduit - et il l'a été par certains auteurs- par -je-. Les mécanismes de défenses se rapportent dès lors soit au -je- soit au -soi- (self) lorsqu'ils mettent notamment en cause le narcissisme.©wikipedia
Trouble pédopsychiatrique - Le TDA/H ou trouble du déficit de l'attention/hyperactivité (en anglais Attention-deficit hyperactivity disorder, ADHD ou Attention-deficit disorder, ADD) est un trouble neurologique caractérisé par des problèmes de concentration (TDA) avec ou sans hyperactivité/impulsivité. Sa détection et les soins à apporter font l'objet de nombreuses controverses. D'après le manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM-IV), le TDA/H n'est pas un trouble du comportement au sens propre du terme, bien que les risques de développer un trouble d'opposition ou de la conduite soit plus élevé que la moyenne. L'enfant qui est aux prises avec un TDA/H a des comportements qui nécessitent une plus grande cohérence et une plus grande constance de la part des adultes qui gravitent autour de lui. L'enfant ne développera pas pour autant un trouble de comportement.©wikipedia
aapel.org/bdp/BLbpd-Bi-AD.html
vulgaris-medical.com/encyclopedie/hyperactivite-deficit-de-l-attention-de-l-enfant-2389.html
fr.wikipedia.org/wiki/Trouble_du_déficit_de_l'attention
C'est la charge cognito-affective (Baubet T, Moro MR. Trauma et culture. In : Baubet T. et al. Soigner Malgré tout vol.1: Trauma, cultures et soins. Grenoble: La Pensée Sauvage, 2003) qui lui est liée, qui peut être plus ou moins importante.©wikipedia
Certains délires sont dits systématisés, c'est-à-dire qu'ils partent de prémisses délirantes, mais se développent ensuite de manière logique et cohérente, si bien qu'ils peuvent entraîner la conviction de l'entourage. Les délires dits non-systématisés en revanche, ne possèdent ni logique ni cohérence interne, et témoignent pour quiconque, d'une désorganisation importante de la pensée.©wikipedia
En psychopathologie, en neurologie et en psychiatrie, le délire est une perturbation globale, parfois aiguë et réversible, parfois chronique, du fonctionnement de la pensée. Il représente un symptôme, et en ce sens il peut prendre des significations très diverses selon le contexte dans lequel il apparaît, et selon son type. Les causes en sont multiples. Attention, en anglais : Delusion signifie délire, tandis que delirium signifie confusion mentale. Le délire est un trouble du contenu de la pensée caractérisé par la permanence d'idées délirantes. Les idées délirantes sont des idées manifestement en désaccord avec les faits observés et les croyances habituellement partagées dans un contexte culturel donné. Ces idées délirantes emportent l'adhésion du patient au moment où le patient délire, mais elles peuvent faire l'objet d'une critique de la part du sujet lorsque les symptômes retombent. - Les idées délirantes peuvent être centrées soit sur un thème unique ou soit sur plusieur
Délire et culture : certaines pensées et comportements sont répandues dans certaines cultures. Par exemple, croire en l'existence des phénomènes de possession par un djinn au Maghreb, ou bien de la sorcellerie-anthropophagique en Afrique de l'Ouest, ou encore à l'apparition des morts en Asie du sud-Est, ne constituent pas des croyances qui puissent être comprises localement comme des symptômes de maladie mentale. Si ces personnes sont examinées par des psychiatres occidentaux, elles sont susceptibles de recevoir des diagnostics erronés de psychose[1], du fait du biais culturel existant entre le patient et le clinicien. Les auteurs américains comme Arthur Kleinman, ont nommé ce phénomène misdiagnosis et category fallacy. En France, les travaux du champ de l'ethnopsychanalyse ont évoqué ces questions.©wikipedia
C'est une psychose caractérisée par un délire systématisé, sans affaiblissement des capacités intellectuelles. Cette psychose débute à l'âge moyen de la vie sur un fond de caractère paranoïaque (méfiance, orgueil, hypertrophie du Moi, susceptibilité, jugement faux, rigidité du psychisme ) à la suite bien souvent d'un conflit psychoaffectif d'importance variable. Le délire est bien systématisé, interprétatif et les réactions agressives contre autrui sont violentes et fréquentes. Le sujet, comme dans toutes les psychoses, adhère totalement à son délire. Plusieurs sortes de délires paranoïaques sont décrits :- le délire d'interprétation : C'est un patient chez qui un beau jour tout devient subitement clair, tout s'explique, tout s'illumine. A partir d'une perception ou d'une sensation réelle, le malade construit un délire systématisé, souvent de persécution, dans lequel tout prend une signification personnelle pour lui : il juge intentionnel et souvent malveillant le hasard. Ces
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Il est habituellement fondé sur deux composantes majeures : imagination et intuition. Le début du délire est marqué par une intuition, qui sera par la suite enrichie par l'imagination délirante. Des hallucinations initiales sont possibles, bien que plus rares. La thématique est volontiers mégalomane, romanesque, de filiation, de grandeur, parfois persécutive : toujours riche, polymorphe, peu systématisé. Le délire reste cantonné à un secteur de la vie psychique, ce qui permet une vie sociale, professionnelle, affective. Le délire n'est pas partagé et demeure longtemps silencieux aux yeux des proches, qui ne s'alarment que lors des phases florides de la maladie. Le délire n'étant pas systématisé, l'adhésion des proches n'est rarement ou jamais obtenue (à la différence de délires très construits et cohérents, comme le délire paranoïaque) ce qui contribue à l'effet caractéristique de superposition du délire au réel, séparés de façon très étanche. L'adhésion au délire est tot
Délire sans système où se mêlent et s'imbriquent des thèmes très variés dans un désordre qui défie le classement.
Confusion mentale très grave due à la suppression brutale de l'alcool chez un intoxiqué chronique. L'onirisme est alors surtout fait d'hallucinations d'animaux (zoopsie).
Elle est formulée et s'adresse à autrui. Elle est spécifiquement une demande d'amour et non d'Objet ©psychiatriinfirmiere.free
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Pathologie du cerveau - Trouble cognitif - Définition La démence est une altération grave du psychisme d'un individu, se caractérisant par une diminution progressive et irréversible des facultés intellectuelles (voir arriération mentale) ou mentales (fonctions cognitives). Il s' agit plus précisément d'une démence organique, résultat du déclin progressif ou permanent de la perception et des capacités intellectuelles, ceci à la suite de lésions cérébrales (du cerveau). Pour l'organisation mondiale de la santé la définition de la démence est la suivante : altération progressive de la mémoire et de l'idéation (processus de la formation des idées), suffisamment marquée pour handicaper les activités de la vie de tous les jours, apparue depuis au moins six mois, et un trouble d'au moins une des fonctions suivantes : Langage. Calcul. Jugement. Praxie. Gnosie. L'ensemble des fonctions intellectuelles sont : la mémoire, l'attention, la capacité de raisonner, le ju
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Mode de défense consistant en un refus par le sujet de reconnaître la réalité d'une perception traumatisante (Exemple: Celle de l'absence de pénis chez la femme).Le déni porte sur la réalité extérieure. ©psychiatriinfirmiere.free - Freud emploie le terme de déni pour qualifier le rejet du sujet de reconnaître la différence anatomique des sexes lorsqu’il constate que la femme ne possède pas de pénis. Ce rejet de la reconnaissance de l’absence de pénis chez la femme pose les bases d’un rejet de la réalité extérieure. Le sujet est alors dans le fantasme, fantasme de la toute puissance phallique, il fonctionne sur un mode hallucinatoire. Le déni est un mécanisme de défense de type psychotique. Le déni est corollaire du clivage du moi où vision du sexe châtré et non reconnaissance de celui-ci sont clivés. Au-delà du champ de la psychose, Freud voit également, dans le déni, le noyau de la perversion. Par exemple, le fétichiste vit dans le déni et il est dans la perversion. Par
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Ethique propre à une profession : ensemble des devoirs qui régissent la conduite des membres de cette profession, de leurs rapports avec leurs clients, de leurs rapports entre eux.
S’applique en particulier à l’ensemble des professions médicales.
La déontologie médicale est l’étude des devoir professionnels du médecin, l’ensemble de ces devoirs étant fixé par le code de déontologie. L'emploi du mot tend à se généraliser.
©psyvig
Dépendance Elle se crée quand la satisfaction du besoin est insuffisante pour assouvir son but (Exemples: Dépendance affective, dépendance toxico maniaque). ©psychiatriinfirmiere.free
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Trouble psycho-affectif initialement décrit par P. Janet pour caractériser la psychasthénie, c'est une expérience au cours de laquelle le sujet perd le sentiment de sa propre réalité, de son identité, de la réalité de son corps, le tout accompagné d'un intense sentiment d'étrangeté et d'une grande angoisse. Selon le niveau de dépersonnalisation on aura affaire à une atteinte légère dans l'hystérie (trouble de l'identité), ou à un mode d'entrée dans la psychose délirante (automatisme mental, hallucinations, corps disloqué et morcelé). C'est au cours de la dissociation schizophrénique que la dépersonnalisation est la plus grande. Le sujet se sent devenir autre, s'interroge pour savoir si un autre ne prend pas sa place en lui. Le monde est inexplicablement changé: le patient ne reconnaît pas ce qui lui était familier. La tonalité est hostile. Le patient tente d'expliquer ces phénomènes par un -rationalisme morbide-. Par ailleurs la dépersonnalisation s'observe également dans les
Le déplacement est un mécanisme de défense du moi. Il s'agit d'un mouvement de l'affect d'une représentation à une autre.©wikipedia
Déplaisir Expérience douloureuse consécutive à la stimulation des zones érogènes s'accompagnant d'une tension (ou d'une frustration) due au plaisir différé. ©psychiatriinfirmiere.free
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La dépression est en général une modification intense de l’humeur qui implique des états de souffrance morale, de profonde tristesse et de mélancolie. En psychanalyse, l’état dépressif est bien recouvert par la notion de mélancolie, dénommée psychose maniaco-dépressive, qui consiste en un désinvestissement total du moi. Par contre, l’épisode dépressif, moins grave et plus réduit dans le temps, n’est pas rare dans certaines névroses et peut être accompagné d’anxiété, d’asthénie, et de sentiment d’échec. Le point commun de tous ces états de dépression semble être le temps qui ne représente plus de valeur car il est vécu dans la monotonie, l’ennui et peut parfois aboutir à des conduites suicidaires (voir aussi : Suicide). D’autre part, le patient dépressif peut aussi avoir des troubles de conduite alimentaire telle que l’anorexie ou l’hyperphagie, et présenter des symptômes d’insomnie ou d’hypersomnie. D’après le DSM IV, qui répertorie les différente
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Décompensation au cours d'une névrose ancienne se traduisant par un syndrome dépressif associé à une recrudescence des signes de la névrose.
État dépressif survenant chez un sujet jusque-là indemne de tout symptôme de maladie mentale caractérisée, à la suite d’un traumatisme physique ou affectif important. ( in Glossaire de l’ouvrage de Léon Chertok, L’Hypnose). ©psyvig
Dépression récurrente : survenue dans la vie d'au moins deux épisodes dépressifs majeurs.
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Dépression saisonnière : dépression liée au cycle des saisons et aux variations de la luminosité, avec une symptomatologie particulière au premier plan (asthénie, hypersomnie, hyperphagie avec intérêt particulier pour les aliments sucrés).
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Pratique qui consiste à utiliser les mêmes techniques que les sectes pour conditionner les ex-adeptes à quitter un groupe par la contrainte. ©pwyvig
Grand dictionnaire de la philosophie, publié par Larousse et le CNRS (Paris, 2003)
Perte de sentiment de réalité du monde extérieur qui ne semble plus familier, (...) bien que le malade ne présente ni déficit sensoriel, ni troubles instrumentaux ou perceptifs.©aapel.org
,Perception modifiée de la réalité extérieure, ressenti d'irréalité des personnes et des choses présentes, d'être hors de son corps. Impression de distance avec la réalité, comme dans un rêve. Impression d'étrangeté du monde extérieur
Termes connexes : spiritualité, transpersonnel, valeurs, Nietzsche - -On a souvent recours à ce terme d’-horizon- ... Ce que Weber a appelé le désenchantement, la disparition de notre sentiment du cosmos en tant qu’ordre signifiant, a ruiné les horizons à l’intérieur desquels les gens vivaient aupravant leur vie spirituelle. C’est le terme qu’emploie Nietzsche dans sa fameuse déclaration sur la -mort de Dieu- : -Comment avons-nous pu vider la mer ? qui nous adonné l’éponge pour effacer tout l’horizon ?- Charles TAYLOR, Les sources du moi [ Self, note de la Rédaction], la formation de l’identité moderne, [1989] Seuil, 1998, 712 p.- Cf. également François JULLIEN, Fonder la morale, Grasset, 1995.©cifpr.fr
Processus par lequel un objet est privé de sa charge affective pour un sujet donné.
Désir: le manque constitutif du sujet interdit toute satisfaction totale chez l'être humain et le pousse à tenter de retrouver ce qui pourrait le combler.
C'est ce mouvement de retrouvailles impossibles qui est appelé désir.
©editionsmilan.com
- le manque constitutif du sujet interdit toute satisfaction totale chez l'être humain et le pousse à tenter de retrouver ce qui pourrait le combler. C'est ce mouvement de retrouvailles impossibles qui est appelé désir.
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- Désir Il naît de l'écart entre la demande et le besoin. Est en relation avec le fantasme. Il est irréductible à la demande pour la raison qu'il recherche à s'imposer sans tenir compte de l'Autre et exige d'être reconnu absolument par lui. Il se différencie du besoin en ce qu'il n'est jamais assouvi
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editionsmilan.com/5bc7df7b/Dico-de-la-psychanalyse-et-de-la-psychologie-Le.html
editionsmilan.com/f8523e97/Les-dicos-essentiels-Milan.html
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Comment naît le désir du psychanalyste au XXIème siècle ?…
pour que naisse chez un analysant le désir de l’analyste, il faut qu’il se heurte à quelque chose “de l’analyste”.
Le réel lui vient par là, dans l’expérience analytique.
Ailleurs, soit il vous engloutit, soit il est à jamais “toujours perdu” : où il se voit qu’il peut être identifié à la jouissance. …/…
© Daniel Roy, In - Le point du jour - apériodique de l’ECF
Les entretiens préliminaires accueillent cette demande dont la formalisation en un - je viens pour ça - marque d’une pierre le début d’un parcours. Cet énoncé n’est déjà plus tout à fait du registre de la plainte, puisqu’il nomme une - clocherie - de l’existence. Il ne détermine pas plus la voie qui sera suivie que ne le font ces fausses lignes droites que le paysage réserve parfois au voyageur, avant que celui-ci, soudain, ne réalise que sa route bifurque ou qu’elle sinue. Ainsi, l’écart entre la demande et le désir fait l’enjeu même de la cure et situe, autrement et dans l’après coup, le - je viens pour ça - qui diffère d’un - je suis venu pour ça - : le psychanalyste devient le partenaire de celui qui s’adresse à lui, engageant dans l’opération ce que fut pour lui-même l’expérience de la psychanalyse. Voilà qui justifie l’invitation à ne pas lâcher le fil de l’énoncé en première personne, qui donne à ce travail d’élaboration son caract
Le déterminisme est une notion philosophique selon laquelle chaque événement est déterminé par un principe de causalité.©wikipedia
Héritage collectif d'une culpabilité originaire - -les dettes constituent une sorte de liaison et d'union des cieux et de la terre, un moyen unique de conservation de la race humaine ... [Sans elles] il n'y aurait entre les éléments ni symbolisation, ni interaction, ni aucune transmutation-. R. Benedict : Les shame cultures - Le brahmanisme (pour lequel la dette est constitutive de l'être humain, qui en est affecté dès l'instant où il vient au monde), indique que la culpabilité de l'individu se ramène à ce qui le fait redevable envers la loi introduite par le langage à l'orée des temps historiques. Lacan : la dette symbolique - -La dette symbolique dont le sujet est responsable comme sujet de la parole- - Le réseau des symboles : Le réseau des symboles dont l'homme s'est emparé est, en effet, si total qu'ils enveloppent sa vie avant même sa naissance et qu'ils -définissent la loi des actes qui le suivront jusque là même où il n'est pas encore et au-delà de sa mort même-. © http://andre
andre.font.free.fr/PSYCHANALYSE/conceptspsychanalytiques.htm
Deuil (Processus de -) Ensemble de processus psychologiques qui sont mis en train par la perte d'un Objet aimé et qui aboutissent généralement à ce que le sujet renonce à cet Objet, et puisse s'en détacher afin de préserver le Moi. ©psychiatriinfirmiere.free
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Le développement est l’action de se déployer. Le développement personnel est basé sur une activité qui consiste à privilégier le déploiement individuel avec extension du Moi. C’est un phénomène conduit par une alternance de pulsions de vie et de pulsions de mort. Il consiste en un développement égocentré ne prenant plus en compte la notion d’adaptabilité sociale. Recherche de la proéminence du Moi au détriment de la mise à disposition de l’énergie vitale pour l’extension du groupe. ©psyvig
Lire l'article du site http://www.aihus.fr/prod/system/main/main.asp?page=/prod/data/publications/fondements/enfant.asp
aihus.fr/prod/system/main/main.asp?page=/prod/data/publications/fondements/enfant.asp
Caractère de ce qui s’écarte des normes. Conduite qui échappe aux règles de la société, des conventions. L’alcoolisme, la toxicomanie, la délinquance routière, les psychothérapies abusives sont des formes de déviance. ©psyvig
Phénomène hallucinatoire se traduisant par le sentiment d'être contrôlé et devancé au niveau de sa pensée. Le sujet a l'impression que sa pensée est devinée.
Fait de rejeter le mal à l’extérieur du groupe. Le monde extérieur est considéré comme dangereux.©psyvig
Tout propos incohérent ne signifie pas délire. - On peut observer des propos incohérents, de manière chronique dans le syndrome démentiel p.ex. - On observe des signes délirants dans la confusion mentale, ce n'est pas un délire au sens psychiatrique du terme. Les symptômes délirants sont associés à d'autres troubles (de la mémoire, de l'orientation) et la cause est une souffrance cérébrale qui peut avoir de très nombreuses causes. Le delirium tremens, trouble survenant chez l'alcoolique en cours de sevrage, est un exemple de confusion mentale. - Une action fondée sur une conviction fausse sans discours 'délirant' est un trouble du comportement mais pas nécessairement un délire. - Une conviction fausse n'est pas un délire si la présentation d'éléments de preuve est acceptable par la personne qui tient le discours fondé sur une conviction fausse : le délirant, par opposition, est imperméable à la persuasion. - Un discours faux n'est un délire que si la personne qui le tient est conva
Tendance irrésistible à boire de fortes quantités d'alcool, se manifestant par périodes.
méthode majeure. Elle comporte un modèle métapsychologique, le germe d’une anthropologie (théorie générale de l’être humain), une véritable doctrine, corps de savoir et d’enseignement, qui peut bien entendu comporter des incohérences là n’est pas la question, une aire de dispute interne et externe, une capacité critique et au débat. Ni la psychanalyse, hébergée en psychologie et en psychiatrie à l’université, ni la psychothérapie relationnelle, ne constituent au sens universitaire du terme, des disciplines, dûment pourvues de chaires et de filières aboutissant au doctorat et à la recherche dans leur matière. Cela pose la question du statut disciplinaire institutionnel de ces … disciplines, dont la formation s’effectue dans des Sociétés et Écoles non universitaires, ce qui s’explique pour une part importante par leur caractères implicatif. Leur savoir comporte une part importante de savoir être et d’un savoir-faire qui lui est directement correllé, ce qui ne relève
Se prend pour 2 personnes (mais ne s'en rend pas compte)
Voir trouble dissociatif ©aapel
Art du devin, qui découvre les choses cachées en interprétant des signes. En, particulier, art de prédire l’avenir par des méthodes qui ne relèvent pas de la connaissance naturelle (magie, occultisme, chiromancie). ©psyvig
Exploration en neurologie - L'échographie Doppler est un examen médical échographique en deux dimensions non invasif qui permet d'explorer les flux sanguins intracardiaques et intravasculaires. Elle est basée sur un phénomène physique des ultrasons, l'effet Doppler. Il est souvent appelé écho Doppler. Historique Les premiers appareils ont été développés dans les années 60, notamment à l'INSA de Lyon par Léandre Pourcelot. Il fallut atteindre 1977 pour voir apparaître le premier Doppler couleur, toujours notamment par le même Léandre Pourcelot à l'université de Tours. Technique L’échographe Doppler est constitué d’un échographe classique couplé à une sonde Doppler. Lorsqu'un faisceau d'ultrasons traverse les cavités cardiaques ou les vaisseaux, l’écho renvoyé par les éléments figurés du sang (qui deviennent des émetteurs) aura une longueur d'onde plus longue (son plus grave) s'ils s'éloignent du capteur ; et une longueur d'onde plus courte (son plus aigu) s'ils se dirige
IDA BAUER (1886-1945), patiente célèbre de la psychanalyse. Son cas est relaté sous le titre - Fragment d'une analyse d'hystérie : Dora - in les Cinq psychanalyses. Traitée par Sigmund Freud en 1900, alors qu'elle n'avait que 14 ans. C'est en raison du thème délicat abordé qu'il ne publia le récit de sa cure qu’en 1905 et qu'il désigna sa patiente sous un pseudonyme. Il changea son âge et prétendit qu'elle avait 18 ans lors de la cure. Motif de la consultation : 1899, Ida Bauer donne une gifle à un ami de son père qui tentait de la séduire. Traitée d'affabulatrice, elle avait été envoyée de se faire soigner chez Freud. Elle souffrait alors de certains symptômes, parmi lesquels une toux douloureuse et persistante, qui furent diagnostiqués comme hystériques par le psychanalyste. Il s'avéra que le père de la patiente avait une aventure avec la femme de son ami et qu'Ida éprouvait envers lui un fort ressentiment. Freud déclara déceler chez elle un désir inconscient pour l'homme qu'el
Ai-je bien fait de mettre mon fils en pension… ? Aurais-je du priver ma fille de sortie ? Est-ce moi qui vit cela ? Est-ce ma faute ? Aurai-je la force… ? Serons-nous à la hauteur ? Suis-je aimable ? Vivant ? Est-ce que je vais mourir ? Je ne sais … si je … veux… se tourmente nuit et jour dans la douleur le douteur impénitent..../... On doute de soi, de l’autre, du lendemain… De l’issue d’une démarche, de la portée d’un désir, du bien fondé d’un geste, de la réciprocité d’un sentiment, de la véracité d’une énonciation. Parfois il s’installe, inhibant, d’autres fois il caresse, porteur d’espoir, égayant la routine dont il rompt la monotonie. Mise en questions de nos capacités à agir et à réagir dans une démarche raisonnée inspirée par un désir d’équilibre personnel ou trace symptomatique d’un déséquilibre dû à une faille essentielle - présente ou réactualisée - le doute sonde les limites, interroge le réel, favorise le fantasmatique… Potentiel,
Manie des déplacements sans utilité sous l'effet d'un besoin irrésistible.
DSM IV
Diagnostic Criteria for the most common mental disorders including: description, diagnosis, treatment, and research findings.
This list references the diagnostic criteria of mental disorders as described in the Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders - Fourth Edition (DSM-IV), published by the American Psychiatric Association, Washington D.C., 1994, the main diagnostic reference of Mental Health professionals in the United States of America.
Manuel de Diagnostic et Statistiques des Troubles Mentaux - Quatrième Edition (DSM-IV), publié par l'Association Américaine de Psychiatrie, Washington DC, 1994, le manuel de référence des professionnels pour diagnostiquer les Maladies Mentales dans les Etats-Unis d'Amérique ©
Perturbation des mouvements volontaires.
,Les dyskinésies sont des mouvements anormaux involontaires et incontrôlés, parasitant principalement le mouvement volontaire et pouvant apparaître au repos.
Ce ne sont pas des symptômes proprement dits de la maladie de Parkinson : ils apparaissent chez les personnes traitées à la L-Dopa et aux agonistes dopaminergiques.
Ces dyskinésies apparaissent un jour ou l'autre chez tous les parkinsoniens après plusieurs années de traitement. Leur apparition en début de traitement peut être corrigée par un ajustement de la dose.
On distingue les dyskinésies (mouvements involontaires) des fluctuations motrices qui correspondent à des blocages. Ces dernières peuvent se manifester la nuit et au petit matin, en fin de dose avant la prise du prochain comprimé ou au début de l'après-midi. Parfois, elles sont imprévisibles et peuvent survenir soudainement. Un carnet de surveillance soigneusement rempli aide le neurologue à adapter les doses et les horair
http://www.cleomede.com/article-4839322.html
,http://www.franceparkinson.fr/docs/les-dyskinesies.php?p=72&id=173
La dyskinésie tardive est un effet indésirable induit par les traitements neuroleptiques ou chez les enfants, comme effet secondaire de médicaments contre les troubles gastrointestinaux. C'est un effet indésirable de type extra-pyramidal. Il existe deux catégories de mouvements anormaux induits par les neuroleptiques, les dyskinésies précoces (au début du traitement) et les dyskinésies tardives. Le plus souvent, celles-ci sont bucco-faciales et se présentent sous la forme de mouvements choréo-athétosiques (plutôt les cas tardifs), de mâchonnements et de protrusion de la langue répétitifs et incontrôlables (plutôt les cas précoces) (voir syndrome du lapin). Plus rarement, ces mouvements intéressent d'autres groupes musculaires. Ces dyskinésies génèrent un phénomène social de rejet de la personne atteinte en plus de celui causé par la maladie initiale, et peut conduire des patients à s'isoler voire chez certaines personnes, conduire au suicide de par l'exclusion qui en résulte ou de
Dyskinésies : mouvements stéréotypés, lents, permanents, échappant au contrôle volontaire, parfois induits par les neuroleptiques.
On distingue les dyskinésies précoces, survenant dans les suites immédiates de l'instauration du traitement neuroleptique et qui cèdent facilement sous traitement correcteur, des dyskinésies tardives, survenant après plusieurs années de traitement, beaucoup plus difficiles à traiter.
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Préoccupation obsédante portant sur un aspect du corps que le sujet estime laid et inacceptable. Va jusqu'à la demande de soins et de chirurgie esthétique.
État de malaise, sentiment désagréable et négatif. (voir euphorie) ©
En psychiatrie, la dysthymie est un trouble chronique de l’humeur moins intense que la dépression mais suffisant pour causer des perturbations significatives chez le patient. La dysthymie ou trouble dysthymique est une forme de dépression atténuée et chronique produisant une souffrance significative. Ce terme a été introduit en 1980 dans le DSM-III. Auparavant, ces troubles ont été tantôt considérés comme des troubles de l'humeur, tantôt comme des troubles de la personnalité : on a parlé par exemple de - névrose dépressive -. On peut en rapprocher également certains troubles névrotiques comme la neurasthénie ou la psychasthénie[Parquet P.J. et al. Itinéraire des déprimés sur le site Psydoc/Inserm (cf. le chap. 3)]. La dysthymie peut être liée à une structure peu favorable au développement positif de l'enfant : violences, incestes, guerres,carences affectives importantes. L'enfant tend à considérer ces faits comme normaux et finit par les banaliser et les intégrer à sa structur
Troubles moteur, dérèglement du tonus d'attitude et du tonus d'action entraînant des mouvements anormaux.
Dystonies : contractures involontaire et soutenues pouvant toucher un ou plusieurs groupes musculaires (plafonnement du regard, protraction de la langue, torticolis...) pouvant être induit par les neuroleptiques.
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Pathologis musculaire - La dystrophie facio-scapulo-humérale, ou « myopathie facio-scapulo-humérale » ou « myopathie FSH » (FSHD en anglais) ou « myopathie de Landouzy-Dejerine », est une affection musculaire héréditaire liée à une anomalie située sur le chromosome 4. Actuellement, seules les thérapies physiques (type kinésithérapie, physiothérapie, kinésiologie...) sembleraient utiles comme traitement symptomatique. ©http://fr.wikipedia.org/wiki/Dystrophie_facio-scapulo-humérale
Pathologis musculaire - La dystrophie myotonique de Steinert ou maladie de Steinert est une maladie génétique autosomique dominante, à pénétrance incomplète et marquée par l'anticipation, qui affecte plusieurs organes : le squelette, les muscles lisses, l'œil, le cœur, le système endocrinien et le système nerveux central. Les signes de cette maladie sont variés, allant d'une forme légère à une forme grave. Trois formes sont habituellement décrites selon l'âge d'apparition des premiers symptômes mais dont les limites ne sont pas toujours nettes : légère, classique et congénitale. La forme légère est caractérisée par une cataracte et une myotonie modérée. L'espérance de vie est normale. La forme classique est caractérisée par une faiblesse musculaire généralisée et une myotonie généralisée, une cataracte et des troubles de la conduction cardiaque. L'adulte peut perdre son autonomie et l'espérance de vie est réduite si le patient n'est pas suivi pour le cœur.